Adrien Briotet, exploitant agricole depuis 2018, gère un regroupement de 28 exploitations agricoles réparties entre la Haute-Marne et la Côte-d’Or. En tant qu’un des huit associés, sa responsabilité principale est la vente de 12 à 15 000 tonnes de céréales par an. Un défi de commercialisation agricole d’envergure qu’il relève avec brio grâce à l’intelligence artificielle de Max, l’outil développé par Piloter Sa Ferme.
Une commercialisation agricole cruciale simplifiée par l'intelligence artificielle
« Chaque associé a sa propre responsabilité, et la mienne est cruciale : vendre nos céréales, » explique Adrien. Mais aujourd’hui, la complexité de sa tâche est grandement atténuée par l’utilisation de Max, l’outil de PSF.
Grâce à l’intelligence artificielle intégrée à son algorithme, Max lui fournit toutes les données nécessaires à justifier ses choix commerciaux aux autres associés. Et, des rapports aussi clairs qu’efficaces sont là pour appuyer la justesse de ses prises de décisions agricoles.
Le rôle de Max dans la commercialisation agricole
Avant d’utiliser Max, Adrien dépendait fortement des conseils des techniciens de coopératives et des négociants. Mais il redoutait que ces analyses soient trop souvent biaisées par des interprétations humaines et émotionnelles. « Les coopératives et les négoces ont leur propre vision du monde… Mais Max, lui, n’a pas cette notion d’affecte. C’est un calculateur qui interprète les choses de manière impartiale, » affirme Adrien.
Depuis qu’il utilise l’Intelligence Artificielle de Max, Adrien a constaté une nette amélioration dans la précision et la fiabilité des décisions commerciales prises pour ses exploitations. Max fournit des signaux de vente ou d’attente, libérant Adrien et ses associés de la pression des décisions impulsives, souvent influencées par l’humeur du jour.
La commercialisation agricole, avant et après l’intelligence artificielle de PSF
« Avant d’utiliser l’outil de PSF, je me basais surtout sur l’avis du technicien de la coopérative, » précise Adrien. « Mais je n’ai aucune formation sur les marchés, donc je devais me fier aux interprétations du technicien. »
Depuis plus d’un an qu’Adrien fait appel à l’Intelligence artificielle de Max, il est nettement plus serein. Et particulièrement face à un marché caractérisé par une volatilité accrue et une situation géopolitique si instable.
L’intelligence artificielle au service des exploitations agricoles
Adrien comprend la réticence de certains agriculteurs à investir dans un outil comme Max, surtout pour les petites exploitations agricoles. Cependant, il souligne : « Pour une entreprise agricole de moyenne ou grande envergure, je ne peux que conseiller un tel investissement. » Selon lui, les bénéfices de l’intelligence artificielle en agriculture sont indéniables et tout particulièrement pour des exploitations agricoles qui vont être amenées à s’agrandir. Le temps économisé, la rentabilité assurée et la réduction du stress, compensent largement le coût de l’outil.
L’intelligence artificielle agricole pour éviter les erreurs de l’intelligence émotionnelle
Pour Adrien Briotet, Max n’est pas seulement un outil de commercialisation agricole, c’est une véritable innovation dans la gestion quotidienne de ses exploitations.
L’intelligence artificielle offre une analyse juste et impartiale qui permet de naviguer sereinement dans la complexité des marchés agricoles. Grâce à des données et des analyses fiables chaque décision agricole devient plus stratégique et bien moins émotionnelle.
Temps forts d’une rencontre avec un agriculteur aidé par l’IA de PSF
Face à la volatilité des marchés agricoles, Adrien Briotet s’est confronté aux doutes d’une commercialisation agricole uniquement basé sur l’analyse, souvent émotionnelle, des techniciens de coopératives. Aujourd’hui, il témoigne de la sérénité et du gain de temps que lui apporte l’intelligence artificielle dont est doté Max, l’outil de PSF.
Pouvez-vous nous présenter l’organisation de votre entreprise agricole ?
Je suis exploitant agricole depuis 2018 dans un regroupement de 28 exploitations, sur 2 sites, en Haute-Marne et Côte-d’Or. Nous sommes 8 associés avec 10 salariés, chaque associé à une responsabilité et ma responsabilité principale est de vendre entre 12 et 15 000 tonnes de céréales chaque année.
La responsabilité d’une commercialisation agricole de cette envergue n’est-elle pas lourde à porter ?
Si, mais avec un outil comme PSF je peux expliquer mes choix afin d’échanger avec les autres associés. Je prends aussi de l’informations auprès de la coopérative et des négociants pour forger mon opinion.
Enfin avec l’outil de PSF, tout est enregistré. Ainsi, je peux faire du reporting à mes associés pour expliquer l’ensemble de mes choix dans ma commercialisation agricole.
Que vous apporte précisément l’IA dans votre commercialisation agricole ?
Avant tout, elle m’apporte une vision que les gens, je veux dire l’humain, ne voit pas forcément avoir. Parce que les coopératives et les négoces ont leur propre vision du monde, qu’ils se forgent avec leurs informations des marchés, de la spéculation etc… Mais leur interprétation de ces informations reste humaine et propre à chacun en fonction de leur « affecte », de leur émotions…
Max n’a pas cette notion d’affecte, c’est un algorithme, un calculateur qui interprète les choses de manière impartiale. Là où un humain va dire « je ne sais pas ce que cette tendance va donner », Max lui, il a une réponse. Et depuis un an que je l’utilise, je ne l’ai jamais vu se tromper et c’est particulièrement rassurant !
PSF nous donne un signal de vente ou d’attente. C’est aussi très réconfortant car on évite de prendre des décisions selon l’humeur du jour. C ‘est comme un OAD, mais bien sûr la décision nous revient.
Comment gériez-vous votre commercialisation agricole avant d’utiliser l’IA de PSF ?
Avant c’était mon oncle qui s’en occupait, même si on prenait les décisions ensemble. Mais depuis deux ans environ je suis bien plus impliqué dans la commercialisation et les décisions qui en découle.
Alors, avant d’utiliser l’intelligence artificielle de PSF, je me basais surtout sur l’avis du technicien de la coopérative. Puis j’en discutais avec mes associés, surtout quand il y avait des doutes ou des décisions compliquées à prendre.
Mais je n’ai aucune formation sur les marchés, donc je devais me fier aux interprétations du technicien qui, lui, suivait les marchés tous les jours. Je me rassurais en me disant qu’ils avaient tout intérêt à bien nous conseiller pour qu’on vende au meilleur prix, puisqu’ils y gagnaient leur marge aussi.
Mais j’avais toujours cette petite inquiétude de savoir si l’interprétation était bonne ou si c’était vraiment le bon moment, etc….
L’intelligence artificielle de PSF vous a donc apporté une certaine sérénité dans vos décisions agricoles ?
Oui, parfaitement ! Bien que, jusqu’à maintenant on n’a jamais pris de décision qui nous ont couté. On a toujours plutôt bien vendu nos récoltes car mon oncle, au fur et à mesure des années, a compris comment fonctionnait le système. Mais autrefois les années été plus linéaires, malgré quelques variations, ont avait pas à faire face à une telle volatilité des marchés agricoles. Quand lui regardait les cotations une fois par mois, aujourd’hui, moi je les regarde tous les jours.
Alors, pour un agriculteur qui n’a aucune formation sur les marchés à terme, comme c’est mon cas, il est clair que d’avoir un outil comme celui de PSF entre les mains ça rassure ! Surtout lorsqu’on gère une entreprise agricole de cette taille…
Qu’est-ce-que vous diriez à un agriculteur qui hésite à utiliser l’IA pour sa commercialisation agricole ?
Je comprendrais qu’un agriculteur qui a une petite exploitation agricole de 100 hectares n’estime pas forcément utile d’investir dans un tel outil. Mais aujourd’hui il y a tellement de choses et d’évènements qui peuvent tout faire basculer ou tout bloquer qu’une entreprise agricole plus importante peut vite se retrouver en situation très critique si elle suit des interprétations ou des conseils erronés.
C’est vrai que c’est un outil qui peut avoir un coût pour une petite exploitation. Mais la tranquillité d’esprit d’avoir des analyses justes et fiables ça n’a pas de prix ! Et c’est sans compter le gain de temps : chaque jour, en 10 min à ¼ d’heure je fais le tour des informations ! Je connais le prix Euronext et tout ce dont j’ai besoin pour me faire une idée. Moi j’ai souhaité recevoir des infos journalières mais chacun peut utiliser l’outil comme il l’entend. Et pouvoir adapter l’outil à sa propre gestion ou à la taille de son exploitation c’est aussi un avantage inestimable de Max.
Alors, pour une entreprise agricole de moyenne ou grande envergure je ne peux que conseiller un tel investissement. Et bien souvent, il apparait presqu’anodin aux vues du gain de temps, de rentabilité et de sérénité qu’il apporte aux agriculteurs qui l’utilisent.